C’est dans une toile aux plus grandes dimensions que mon regard s’est particulièrement arrêté.
Sur un fond d’architectures disparaissantes peint dans un camaïeu de brun-rosés, tel un dessin effectué à la sanguine, s’y détache une frise d’arbres aux tonalités plus soutenues. Ces deux éléments de décor viennent encadrer une scène centrale. Révélée par une lumière solaire et éblouissante, projetée depuis la gauche du tableau, la toile prend comme vie. Matérialisées par des aplats de blancs, ces vifs rayons de soleils viennent colorer ce paysage monochrome. Ils animent également un ensemble de personnages peu distinguables des uns des autres, au moyen de la couleur. Tous tournés dans la même direction, ils rythment chacun des rayons de soleil.
Paul Curti nous offre ici une vision moderne, où la peinture flirte entre monochromie et polychromie, entre avant garde et dessins classiques.
Elsa
Sur un fond d’architectures disparaissantes peint dans un camaïeu de brun-rosés, tel un dessin effectué à la sanguine, s’y détache une frise d’arbres aux tonalités plus soutenues. Ces deux éléments de décor viennent encadrer une scène centrale. Révélée par une lumière solaire et éblouissante, projetée depuis la gauche du tableau, la toile prend comme vie. Matérialisées par des aplats de blancs, ces vifs rayons de soleils viennent colorer ce paysage monochrome. Ils animent également un ensemble de personnages peu distinguables des uns des autres, au moyen de la couleur. Tous tournés dans la même direction, ils rythment chacun des rayons de soleil.
Paul Curti nous offre ici une vision moderne, où la peinture flirte entre monochromie et polychromie, entre avant garde et dessins classiques.
Elsa