No Room, 206, huile sur toile, 40 x 50 cm
No room de Shanti Shea An ou l’art de la confusion.
Ce qui m’a fascinée chez l’artiste c’est sa façon de capturer telle une photographie un intérieur, un moment où la présence humaine, absente, se fait néanmoins ressentir. Le point de vue particulier et les teintes utilisées brouillent notre perception de cette chambre. Sommes-nous dans un rêve ? Un souvenir ? Même le titre de l’œuvre nous désoriente.
Et puis il y a ce bagage artistique. Les coloris doux, lumineux posés en aplat et ce cadrage photographique nous renvoient aux atmosphères nabis du peintre Pierre Bonnard. Ceux-ci sont contrebalancés par ces lignes fortes qui structurent la composition telle une abstraction.
Shanti Shea An joue sur la confusion, tant dans le sujet que dans la composition. Fiction ou réalité, figuration ou abstraction, libre à vous maintenant d’interpréter l’histoire de cette œuvre !
Ce qui m’a fascinée chez l’artiste c’est sa façon de capturer telle une photographie un intérieur, un moment où la présence humaine, absente, se fait néanmoins ressentir. Le point de vue particulier et les teintes utilisées brouillent notre perception de cette chambre. Sommes-nous dans un rêve ? Un souvenir ? Même le titre de l’œuvre nous désoriente.
Et puis il y a ce bagage artistique. Les coloris doux, lumineux posés en aplat et ce cadrage photographique nous renvoient aux atmosphères nabis du peintre Pierre Bonnard. Ceux-ci sont contrebalancés par ces lignes fortes qui structurent la composition telle une abstraction.
Shanti Shea An joue sur la confusion, tant dans le sujet que dans la composition. Fiction ou réalité, figuration ou abstraction, libre à vous maintenant d’interpréter l’histoire de cette œuvre !
Louise